Directeur de centres hospitaliers, Thomas Roux suit sa vocation depuis plusieurs années. Les débuts de cette passion pour la santé et les affaires remontent à sa formation professionnelle et cette passion continue de nourrir son quotidien. Il a été à la tête de plusieurs centres hospitaliers et à chaque fois, Thomas Roux a su mener les actions nécessaires pour remporter les combats qu’il avait à mener. De tous ces combats, celui le plus connu est sa lutte contre les mentalités déformées sur la santé mentale et les centres de santé de cet acabit. Voici une petite présentation de la vie de cet allié de la santé.
Une formation adaptée à un idéal
Devenir directeur de centres hospitaliers est un rêve pour Thomas Roux limoges. Ce rêve est soutenu par une grande envie d’aider les autres.
Pour parvenir à ses fins, le métier de médecin lui semble quelque peu limité en matière de décision et de déploiement de moyens. En effet, les médecins doivent restreindre leurs efforts à ce que permet le budget annuel qui leur est octroyé, alors que de nouveaux cas de maladies sont enregistrés tous les jours. Aussi, ils ne peuvent pas prendre des décisions de manière directe sur certains sujets, comme la manière d’améliorer la prévention de certaines maladies.
Le directeur de centre hospitalier par contre, possède un certain pouvoir sur la manière de conduire l’équipe de médecin vers un but profitable à l’établissement dirigé, ses membres et aux patients qui le fréquente.
À la poursuite de ce travail futur, Thomas Roux a suivi un cycle en droit classique, puis une maîtrise en droit public. Pour décrocher le travail de ses rêves, il lui fallait nécessairement intégrer l’École des Hautes Études en Santé Publique où il obtient de très bons résultats.
À la gestion des centres hospitaliers
Les résultats obtenus à l’EHESP font rapidement de Thomas Roux (voir cette page) le directeur aux finances et aux affaires médicales du Centre Hospitalier de Montreuil.
À Paris, après une expérience réussie à Montreuil, Thomas Roux devient l’adjoint du directeur de l’économie et de la finance de l’assistance publique.
Après Paris, il dirige également le site de l’Hôtel Dieu du CHU de Nantes et le Centre Hospitalier de Vendôme, avant d’atterrir au Centre Hospitalier Esquirol (santé mentale) à Limoges où il mène un combat médiatique contre les mentalités déformées sur la santé mentale et les centres de santé de cet acabit.